n'importequoiland

ici c'est pour raconter des histoires réelles ou inventé mettant en scéne vous ou des menbres de la guilde .

parnn:- a tient salut argan , je vient de finir votre biographie , j'ai prit quelque liberté j'éspére que vous ne m'en voudrai pas.je vous lit le début?

Un jour un célébre travestit trés connut des nuits chaudes d'iron forge rentrait chez lui aprés une féte plus qu'arrosé dans le quartier nain de stormwin , il allait étre en retard a son travail ce qui ,meme chez les nains ou l'etiquette est disont..plus coulante, ne se fait pas surtout quand on s'appelle Magni bronzebard et qu'on est le roi des nains. le destin voulut que c'est ce matin la qu'Elune prit l'apparence d'une chévre pour allaiter un nourrisson elfe de la nuit orphelin qui allait mourrir transit par le froid .Magni bronzebard dans la faible clartée du petit jour naissant, les vapeurs d'alccol assombrissant sa vision déja faible meme pour un nain ,prit la grande déesse pour l'une de ses sujettes , a sa décharge la difference n'été pas frappante.
de cet union improbable naquit arganarnagar , se ragnaros de la rhétorique prononca son premiers mots alors qu'il avait a peine quelle jours , il dit a sa nourrice un certain monsieur Croque:
- l'idéalisme ( j'entend l'idealisme matériel) est la théorie qui déclare l'existence des objets dans l'espace et hors de nous ou simplement douteuse et indémontrable ou fausse et impossible.
la pauvre nourrice monsieur croque se suicida sur le champs en s'etouffant avec un bout de sanglier en travers de la gorges.
ce premier mot prononcé dans l'intimité du rapport priviligié qui existe entre une nourrice et son rejeton ne fut que le premier d'une liste sans fin de mot destiné a sortir de la bouche de se prince du verbe .trés connut dans les cercles de l'enfer pour avoir modifié la nature des contrats passé avec les démons puisqu'il fut le premier a convaincre une ame de se vendre ET de payer ....

parnn: - comme je vous l'ai dit j'ai bouché les trous en romancant un peu...

hummmmm je me demande si je peux parler d une période avant la guilde anima ....
bah histoire de lancer l idée de parnnichoupichoupinet.. voyons .. euh ...

J aimerai vous partager un moment intense de ma vie (paniquez pas )

Lors d une de mes nombreuses discutions sans fils conducteurs comme j en ai le secret, notre grand guerrier séducteur d'oni fît une grande déclaration de mariage, je ne sais plus pour oni mais je me trouvais a peine cercle 40 et j avais vu une magnifique robe sur une elfe passant devant moi... après quelques recherches je la trouve cercle 56 avec une très faible chance de l obtenir. Ce cher oni qui me tanais pour m'épouser , j ai eu l'étrange idée d accepter officiellmeent sur le canal guilde si il me trouvais ma robe pour le mariage.

Après quelques recherches infructueuses je commencais a me dire que je serais tranquille pour un moment jusqu'à ce que quelques personnes se metent a aider oni discrètement allant jusqu'à lui céder la dites robes ...en version 44 qui correspondais mieux a ma taille d elfette.( Pour éviter de condamnées les dites personnes je tairais leur noms d 'atea et yvys si je me souviens bien)

Et là commence la descente infernal... oni décide de nous mariés a la saint valentin , ne me laissant que 4 jours pour monter de 4 cercles, ce que j arrive malgrès tout a faire Elune sait comment. La panique s installe pour inviter toute le monde au dit mariage pour monter jusqu'à la dernière minute mes cercles afin de metre cette robe. 4 jours a stresser comme une folle et a être sujet a moquerie.

Puis le jour dit , je me présente au sanctuaire d aessina une heure avant le mariage afin de me recueillir, un endroit magnifique loin de tout pour éviter les imbéciles inconnus et prêt d ashenvale histoire de foncer contre la horde qui y faisait de nombreuses attaques histoires de bien finir le mariage par un bain de sang ou d éviter le dit mariage ( chance que je n ai pas eu, car pour une fois la horde faisait grève)
Les invités arrivant les uns après les autres tous mieux habillés les uns que l es autres ayant fait urgemment la quête de la robe de saint valentin pour la tenue , ou ayant garder les tenues de la fête lunaire. Ayant tous fait le pleins de pétales de roses et de pierre de lune.

L'heure approche et les témoins n arrivent pas , ni le mariés ...
A croire qu ils s amusaient a me faire paniquer, au final les témoins ou témoins de secours sont arrivés , et enfin le futur époux ... qui arrive .... essouflé ... en armure de plaques !!!!
et oui oni t avais pas assurés là .. enfin .. un témoin a eu la gentillesse de l emmener derrière un arbre pour lui filer une chemise et un pantalon. On peux toujours compter sur les amis tout de même.

Le mariage eût enfin lieu ...présidé par la magnifique Yvys (j avais insisté pour qu elle nous maris on se connais depuis si longtemps tout les trois ^^) Elle nous a fait une magnifique cérémonie dans un magnifique endroits avec tout nos amis présents, et le stresse disparu.

mais j ai quand même dis oui ...

et comme prévu apres celà nous sommes allez prendre un bain de sang sauf que ... c est nous qui sommes tous morts mouhahahhahaha (on avait attaqué le maitre gryphon hordeux sur la plage de Zoram).

http://img183.imageshack.us/my.php?image=bess14sz6.jpg

vous connaissez peu d entre eux mais tout a droite vous avez la belle nawel ^^, l humain blond c est melvindrak, a ses pieds l elfette aux cheveux blancs en robe blanche c est yvys, vous reconnaissez oni et bessa ^^ tout de même! et euh ... eltana a été coupé au montage mais pas ma faute le photographe a fait c e qu il a pus.

Comme à son habitude le gryphon se pose tout en souplesse. Juste une petite secousse et elle se retrouve debout sur le ponton.
L’après midi est déjà chaud à Booty-bay.
En contrebas les aventuriers de passage s’affairent bruyamment. Elle n’y prête pas attention. Elle est rêveuse.
Elle songe à la douceur du voyage dans les airs qu’elle vient de faire, seule, loin du tumulte de la ville qu’elle a quitté. Elle repense à l’altitude et la vitesse grisantes, au vent qui chatouillait son visage et faisait danser ses cheveux. Elle ferme les yeux et s’égare dans son songe.
Soudain un effleurement ou un léger parfum…elle se saurait dire ce qui l’a fait sortir de sa rêverie.
Il est en face d’elle et la regarde. Elle le dévisage un instant, il est un peu âgé mais encore plein de charme.
Puis brusquement elle s’écarte de lui et saute prestement sur le ponton du bas.
Déjà elle repense à ce pourquoi elle est venue jusqu’ici, au sud extrême du continent, à toutes ses batailles, ses péripéties et autres aventures incessantes… Elle sourit, c’est si grisant.
Une secousse lui fait tourner la tête. Il a sauté à coté d’elle et la regarde à nouveau. Il s’approche résolument et engage la conversation. Elle lui répond juste courtoisement mais trouve qu’il a une belle voix.
Il s’aventure à lui faire un compliment. Elle a d’abord envie de lui répondre sèchement, puis se ravise et le remercie d’un sourire.
Le temps s’arrête pour ces deux là. Ils parlent de choses banales mais tellement importantes pour eux en cet instant. Ils rient même.
Au bout d’un moment, quelques amis à lui arrivent et le prennent à parti. Le charme est rompu.
Elle lui fait un au revoir de la main et le laisse à ses occupations.
Ils se regardent encore une fois puis partent chacun de leur coté.
Elle se sent le cœur léger, il fait bon vivre en cet après midi si chaud à Booty Bay.

...Son coeur est encore emplie de la chaleur de cette rencontre. La barbe au vent, il accepte d'accompagner ses camarades à la taverne. Mais cette furtive rencontre semble l'avoir laisser autre...

B. Ram'dham – Hep l'frérot, tu finis pas tes côtes de veaux au beurre d'époisses ?
S. Ackham – Hé ben ma vieille latrine ?
T. Nozdam – ...

Il reste songeur. Comme plongé la tête en bas dans un mètre de bière, la discussion lui parait lointaine et à peine audible, comme couverte par les voies de son inconscient. La tête vide, son regard reste accroché à son assiette de côtes de veaux au beurre d'époisses qui effectue un mouvement de va-et-vient entre les bras de ses deux camarades.

Soudain il prend sa chope et se l'enfile dans le gosier d'un seul coup, se remettant ainsi de son absence. Une faim d'ogre lui tiraille le ventre mais constate avec un horrible dépit que le contenu de son assiette a bel et bien disparu. Il souffle un juron qu'on ne lui reprendrait plus et qu'on ne l'y reprendrait plus !?!